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Annep1

Préparation à la castration, à jeun ou pas?

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Comme certains ont du le voir, j'ai demandé à Audrey sur le post où elle parle de la castration de Hialto si le véto lui avait demandé de le mettre à jeun et à partir de quand.... elle m'a dit que non. Hors, j'ai une copine qui fait castrer son cheval également cet après midi, et il est à jeun depuis hier soir, et je me rappelle que quand on a castré le mien, il n'était à jeun que depuis le matin....

J'ai eu plusieurs réponses rapides comme quoi c'est pour éviter l'éventration, que c'est en fonction de l'anesthésie, etc etc... j'ai donc cherché un peu sur le net et j'ai trouvé ça:

"- AVEF 2003 -
CONFERENCE D’EVALUATION
SUR LA CASTRATION DU CHEVAL MÂLE
SYNTHESE DU JURY
Introduction :
La conférence d’évaluation s’applique à la technique chirurgicale de castration des équidés mâles
(le cheval sera utilisé comme terme générique) qui consiste en l’ablation des testicules pour des
raisons de convenance ou pour des raisons médicales.
La castration est un acte chirurgical qui présente des indications et des contre-indications. Elle peut
être pratiquée par tout vétérinaire habilité à exercer et effectuée sur le cheval debout ou couché, en
décubitus latéral ou dorsal. Elle fait appel à différentes techniques chirurgicales et anesthésiques.
Celles-ci présentent des avantages et des inconvénients. Cette intervention, bien que considérée
comme courante, comporte des risques et des complications de type chirurgical ou anesthésique
dont le client doit être informé, de préférence par écrit, préalablement à sa réalisation. Certaines
compagnies d’assurances exigent cette information écrite.
Question A : Que considérer avant la castration ?
La castration peut être réalisée soit en clinique, soit chez le client.
En clinique, les avantages sont ceux liés au plateau technique qui permet d’élargir le choix des
techniques et de mieux traiter les complications éventuelles.
Les inconvénients sont dus au surcoût financier, au transport, au stress pour le cheval, à la
modification de son habitus et de son environnement.
Chez le client, aucune différence significative n’est apparue entre la castration au pré ou dans un
box, à condition que le lieu soit jugé approprié par le praticien.
Le cheval peut être castré en position debout ou couchée. Chacune de ces positions présente des
avantages et des inconvénients.
Le praticien analyse et conseille le client sur le choix du positionnement et de la technique qui lui
paraissent les plus adaptés en fonction de nombreux critères dont :
- le comportement du cheval (“coopératif” lors de castration debout), sa race, son âge ;
- l’état physique du cheval ;
- le personnel disponible (un aide expérimenté peut suffire) et sa compétence ;
- son expérience propre ;
- l’environnement (calme et sécurisé) ;
- le coût de l’acte.
Âge du cheval
La castration peut être réalisée à tout âge. Toutefois, avant l'âge de six mois, le risque de hernie
inguinale semble plus important. L’emploi d’une technique à cordon couvert, avec pose d’une
ligature, est alors recommandé. Chez le cheval adulte (trois à cinq ans selon la race), les
complications sont plus fréquentes.
Il n’existe pas d’études probantes sur le lien entre l’âge de la castration, la croissance, ou les
performances sportives. Seule la castration précoce (avant six mois d’âge environ) préviendrait le
comportement sexuel mâle. En revanche, lors de castration plus tardive, le comportement sexuel
et/ou agressif vis-à-vis de l’homme ou des congénères peut persister.
Il est vivement recommandé au praticien de s’assurer que le demandeur est bien le propriétaire du
cheval ou son représentant dûment mandaté. Il s’enquiert des motifs de la demande de castration. Il
cheval ou son représentant dûment mandaté. Il s’enquiert des motifs de la demande de castration. Il
vérifie l’identité du cheval à castrer et se renseigne sur ses antécédents comportementaux et
médicaux, en particulier les anomalies portant sur la région inguinale et scrotale, ainsi que les
antécédents de colique. Il se renseigne également sur l’état de la vaccination et de la
vermifugation ; le défaut de vaccination antitétanique est corrigé si nécessaire. Si le cheval est
assuré, le demandeur est informé de la nécessité de prévenir la compagnie d’assurances. Il
appartient au demandeur d’en assumer toutes les formalités.
De manière à obtenir son consentement éclairé et de préférence écrit, le praticien informe le
demandeur :
- des différentes techniques chirurgicales possibles (coût respectif, avantages et
inconvénients, complications), ainsi que des risques anesthésiques et de leurs complications
;
- des précautions préopératoires, notamment la restriction alimentaire (sur les chevaux en
pleine activité, il convient d’adapter l’alimentation à la diminution d’exercice physique). Il
n’existe pas d’étude sur l’intérêt de la mise à jeun préalable à la castration ;
- des contraintes de la période postopératoire ;
- de l’appartenance éventuelle de son cheval à une population supposée à risque (Trotteur et
Selle français de grand gabarit et/ou âgés).
Le praticien procède à un examen clinique adapté aux commémoratifs et à la technique choisie
pour l’anesthésie et la castration. Les régions inguinale et scrotale font notamment l’objet d’une
inspection et d’une palpation externe. La palpation transrectale est un examen complémentaire dont
la mise en oeuvre sera laissée à la libre appréciation du praticien. Cet examen a pour objet
d’évaluer la taille des anneaux vaginaux dans le but d’estimer les risques de hernies. La valeur
prédictive de cet examen n’est pas absolue. Avant de l’entreprendre, les commémoratifs, la
faisabilité, les risques de l’acte pour l’animal et les personnes seront pris en compte et le
consentement éclairé du demandeur sera obtenu.
Le praticien informe le demandeur qu’il se réserve la possibilité de modifier le moment de
l’intervention, la technique anesthésique et le mode opératoire en fonction des circonstances.
Question B : Que considérer pendant la castration ?
Contention et anesthésie
Le vétérinaire étant responsable de la sécurité des biens et des personnes qui l’entourent, il a pleine
autorité sur les aides et les modalités de leur participation.
Lors de castration debout, la personne qui maintient la tête du cheval est déterminante : elle doit
être compétente pour assurer la contention d’un cheval mâle. La position de sécurité de cette
personne se situe juste en avant de l’épaule, du même côté que celui où se tient le praticien. Cette
technique de castration fait appel à la tranquillisation et à l’anesthésie locale qui doit être
systématique. La contention physique ne doit pas être agressive. Le praticien doit être en
possession des moyens lui permettant de réaliser une anesthésie générale d’urgence.
Lors de castration couchée, plusieurs méthodes d’anesthésie fixe ou gazeuse sont envisageables
pour réaliser un acte sécurisé et non douloureux (notamment les associations d’alpha2-agonistes et
de kétamine). Le chloral ne doit plus être prescrit. La prévalence des accidents anesthésiques chez
de jeunes animaux en bonne santé serait de 1 à 3 ‰.
Quel que soit le protocole, la mise en place d’une voie veineuse est souhaitable. Le praticien doit
être en possession d’une trousse d’urgence minimale facilement accessible.
Voies d’abord
Les voies d’abord scrotale et inguinale sont les plus fréquemment utilisées. La coelioscopie est une
technique en cours d’évaluation.
Matériel
Le praticien dispose du matériel suivant :
Les casseaux, utilisés dans 12 % des castrations en France en 1998. Ils peuvent permettre de
réduire les risques d’éviscération et d’hémorragie. Il n’existe pas de données objectives sur
le risque infectieux et sur la douleur engendrés par cette technique par rapport à une autre.
L’émasculateur, majoritairement utilisé. Le temps de serrage peut être compris entre deux
et cinq minutes. Il est parfois accompagné de la pose d’une ligature (40 % des cas en France
en 1998) dans le but de limiter le risque d’hémorragie. Les avantages et les inconvénients du
choix de la nature du fil ne font pas l’objet d’un consensus.
La ligature seule, qui peut parfois remplacer l’émasculateur lors de castration couchée.
Techniques
La technique fermée (cicatrisation par première intention) semble la plus adéquate pour
limiter au maximum les risques d’éviscération. Elle nécessite cependant une anesthésie
générale plus longue, n’exclut pas le risque de hernies et peut exposer aux collections sérohémorragiques.
La technique ouverte (cicatrisation par seconde intention, 90 % des castrations en France
en 1998) peut être réalisée debout sous tranquillisation et anesthésie locale, ou couchée sous
anesthésie générale. Plus rapide et moins coûteuse, cette technique expose davantage à
l’hémorragie, à l’éviscération et à l’infection.
Utilisation des antibiotiques
La meilleure lutte contre l’infection réside dans le respect des règles d’asepsie (la préparation du
site opératoire, du fourreau et de la queue sont déterminants). L’antibioprophylaxie bien réalisée
peut être utile, mais n’est pas obligatoire. L’antibiothérapie postopératoire est couramment utilisée,
mais elle ne peut compenser un manque d’asepsie.
Question C : Que considérer après la castration ?
Consignes postopératoires
Lors de castration couchée, le praticien reste présent jusqu’à ce que le cheval soit capable de se
maintenir debout. Les instructions pour les suites post-anesthésiques doivent être détaillées et
écrites, notamment en ce qui concerne la reprise de l’alimentation pour un cheval au box (jeûne
minimal de deux à quatre heures).
Les AINS et les dérivés morphiniques peuvent être utilisés pour le contrôle de la douleur
postopératoire.
Le praticien doit expressément préciser, par écrit, toutes les mesures de surveillance immédiate et
différée au détenteur de l’animal. Cette surveillance sera permanente pendant les quatre à six
heures qui suivent l’intervention, puis régulière (toutes les quatre à six heures) pendant vingtquatre
heures, puis biquotidienne pendant une semaine. Le détenteur sera informé qu’il devra
prévenir le praticien de toute anomalie, à savoir :
- saignement excessif ;
- hernie ou éviscération ;
- coliques ;
- dysphagie ;
- difficultés locomotrices ;
- hyperthermie ;
- oedème ;
- inappétence ;
- douleur, oedème ou induration de la jugulaire du côté de l’abord veineux ;
- ramollissement ou absence de crottins ;
- état général altéré.
La remise en mouvement précoce est importante pour le drainage et la prévention d’un oedème
excessif. Différentes situations sont envisageables après la castration :
- au pré, il appartient au détenteur de l’animal d’observer le comportement du cheval
(intervenir en cas d’excès ou de défaut d’activité). Il convient d’éviter les paddocks boueux
ou poussiéreux et la présence de stimuli extérieurs.
- au box, l’exercice contrôlé au pas (en main ou au marcheur), plusieurs fois par jour, est
prescrit pour une à deux semaines.
Complications
Les complications les plus fréquentes de la castration sont l’oedème, l’infection, l’hémorragie,
l’éviscération et la hernie.
Lors d’oedème ou de souillure des plaies, il peut être utile de doucher à l’eau froide le site
périopératoire dès le lendemain de la castration.
La survenue d’une éviscération ou d’une hernie (lors de technique fermée) semble imprévisible,
quelles que soient les précautions prises durant l’examen préopératoire. La survenue d’une
éviscération nécessite le nettoyage et si possible le refoulement des anses ectopiées, la suture des
bourses et, dans tous les cas, la conduite du cheval vers un centre spécialisé dans les meilleurs
délais. La survenue d’une hernie nécessite également de le diriger rapidement vers un centre
spécialisé.
En cas de castration ouverte, un écoulement sanguin goutte à goutte pendant plusieurs heures est
normal, mais un écoulement en filet continu nécessite une surveillance permanente et
éventuellement une intervention.
Concernant les ânes et les mulets, des hémorragies plus fréquentes ont été rapportées, dont la cause
reste inconnue.
Question D : Communication avec les clients au sujet de la castration
L’information transmise au demandeur (propriétaire ou représentant dûment autorisé) doit être
simple, loyale, intelligible et totale. Elle comprend le contenu du document préopératoire décrit
dans la question A et les consignes postopératoires abordées dans la question C. Ces informations
devraient être reportées sur un formulaire écrit et signé avant la castration et qui constitue la base
du recueil du consentement éclairé.
FIN"

J'ai trouvé ça très intéressant, j'espère que ça vous servira aussi! Et bien sûr d'autres témoignages sont les bienvenus!

ffsd

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Fun etait à jeun pour sa castration. Il etait en decubitus dorsal sous AG car un des testicule etait difficilement accessible. tout c'est très bien passé la véto n'est partie qu'après son réveil complet.

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Pour Ice Cream,il n'était pas à jeun,il a été endormi dans le pré ,le véto l'a opéré couché puis le cheval s'est redressé une demi-heure aprés on l'a encore tenu pendant un bon quart d'heure ensuite il a recommencé à brouter,il est resté au pré et tout c'est trés bien passé.
Quelques jours aprés le fourreau était gonflé mais ensuite tout est rentré dans l'ordre

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Merci pour vos témoignages!

Alors pour le mien, il était à jeun depuis le matin(castration vers 15h). Il a fallu beaucoup d'anesthésiant pour qu'il daigne s'endormir. Ça a été fait couché sur le côté avec assez de mal pour en retirer une des deux.

Il a mis une bonne heure avant de se réveiller et le véto était parti bien avant le réveil... super rassurant.... mpop

Il a fait un petit œdème, mais qui s'est très vite résorbé avec un médocs (je ne sais plus le nom, c'était une poudre à faire avaler).

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merci annep, moi j'aimerais bien des temoignages sur les chevaux opéré en clinique sous celioscopie comme a mon avis c'est ce qui va arriver a aldebaran si l'intervention est longue, si il garde le cheval, si il y a des soins apres merciiiiiiiiii

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ton cheval a un testicule ectopique (inguinal ou abdominal) qui necessite une intervention en clinique? ça a faillit être le cas de Fun car les testicules sont descendus très tard et on a cru qu'il faudrait aller les chercher!

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Je viens mettre mon grain de sel drffe Pas du le mettre à Jeun et opération couchée. ca a été très vite. Il c'est remis debout vite également on a du le tenir un peu pour l’empêcher de manger car il était encore trop stone mais cherchait déjà à manger le gourmand XD

Le vété est parti quand Hialto a été debout drffe

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nous aussi pour arlequin , il était a jeun depuis la veille au soir, opéré l'après midi a 14h
il s'est endormi immédiatement, opération couché, et il s'est réveillé aussitot la fin avec la présence du véto, qui est resté avec lui jusqu'a son réveil
une petite semaine au box, pas de gros gonflements, tout c'est bien passé

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annelise a écrit:
ton cheval a un testicule ectopique (inguinal ou abdominal) qui necessite une intervention en clinique? ça a faillit être le cas de Fun car les testicules sont descendus très tard et on a cru qu'il faudrait aller les chercher!


il en a qu'une pour le moment erre

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Là comme ça en réfléchissant 2 minutes, même si je n'ai pas encore étudier les techniques de castration, je dirais que le fait de mettre à jeun pourrait réduire l'inconfort du cheval à cause de l'anesthésie.
On utilise des morphiniques ou des alpha 2 agonistes adrénergiques et ça provoque des vomissements chez les carnivores (et des contractions du système digestif), or le cheval ne pouvait pas vomir, ça doit entrainer des contractions de l'estomac mais également intestinal et donc le fait d'être à jeun et d'avoir les intestins moins chargés doit soulager. C'est douloureux d'avoir des contractions sur un contenant (d'ailleurs les alpha 2 adré sur une colique due à une obstruction c'est très mauvais)

Enfin voilà, je vois cette explication là :)

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Bon je ne vais pas vous re-raconter l'opération de berry

C'est ici:
/t15300-castration-question-post-ope

Juste que le véto n'avait pas dit à jeun, qu'il fallait surveiller pendant 10 jours la cicatrisation et ne pas le remettre avec d'autres chevaux avant 3 semaines!
Le fourreau a gonflé quelques jours après l'opé mais du coup ça c'est résorbé tout seul.....

Berry devrait retrouver un copain de champ ce vendredi .....ça va pas lui faire de mal.

Tiens par contre une question aux pros......combien de jours après la castration le cheval peut-il encore saillir ?.....parce que je vois que certains remettent le cheval direct avec un troupeau.

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mon véto m'avait dit que pour être sur à 100 ¨% 1mois était nécessaire drffe

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Pour Kondor, cheval pas à jeun.
Opération debout, beaucoup de calmant pour le calmer, parce que très résistant aux calmants, opération ok en 15 min, au box pendant 1 semaine, pas de douche, sortie 2x 10min / jour, puis ensuite 1/2 journée au paddock pednant un mois.
et RAS.

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Mary a écrit:
mon véto m'avait dit que pour être sur à 100 ¨% 1mois était nécessaire drffe



Ah oui quand même !......là j'ai pas eu à poser la question pour berry puisque la juju de notre fille n'est pas à domicile en ce moment.....

Mais pour notre chien, le véto avait dit également 1 mois....


merci mary!

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nous aussi on vient de faire une castration... cheval à jeûn.
Castration faite debout.
Le véto nous a dit qu'après 24h, fallait que le cheval sorte (pour que ça ne gonffle pas trop). Il ne fallait rien faire comme soin en particulier (juste surveiller quand même...)

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Nous avons eu le cas ici d'une castration d'un cheval avec une seule tesicule descendue. Kian est allé en clinique, ils ont castré sous scelio, debout . Ils ont fait deux ouvertures dans l'abdomen d'environ 5 cm pour l'une (celle où ils ont passé la testicule) et 1 cm, celle de la caméra. ils ont remis un films de la castration à ma copine, ils cotérisent en fait le canal ce qui évite les saignement interne.

Les complication les plus classiques sont les coliques. Donc, il est resté au boxe 8 jours, avec foin à volonté et pas de paille surtout.

Puis 10 jours de paddock. On a enlevé les agraphes, et commencé les marches en mains environ 15 mn par jous pendant cette période.

aucune suite ,

Le prix.... 1600 euros...

4 jours d'hospitalisation au total. voili

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Kian avait 4 ans passé donc casiement plus aucune chance que la testicule descende.

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